Le dernier break BMW Série 3 sur les côtes américaines est un joli petit quotidien

Comme vous le savez peut-être déjà grâce à mes histoires précédentes, je suis un grand gars de wagon. Ma première voiture était une familiale Volvo V70 ; cela m'a ramené de l'hôpital et des années plus tard, cela m'a amené au lycée. À partir de là, j’ai obtenu – vous voyez ce que j’ai fait là-bas ? – ce que je considérerais comme ma première vraie voiture, une 323i Touring 2000. Au fil des années en écrivant pour BimmerLife, j'ai eu l'occasion de conduire un tas de wagons amusants, et le dernier en date est un wagon sport Glacier Silver Metallic 330i 2018 (code châssis F31).

Je n’ai jamais été un grand fan de la Série 3 de génération F3X 2013-2019. Je ne les ai jamais trouvées aussi agréables à regarder, elles ont moins de sensations que les générations précédentes et elles avaient pris un peu de poids par rapport aux voitures sortantes de la génération E90. Je pensais savoir exactement à quoi m'attendre avec ce F31 : un quotidien confortable, qui fait l'affaire en ville. Cependant, j'ai été surpris de ce que ce petit wagon avait à offrir.

Au départ, le F31 a fait exactement ce à quoi je m’attendais ; c'était un conducteur quotidien confortable. En le comparant au précédent wagon E91, il est bien meilleur dans son expérience quotidienne, avec une meilleure technologie, des sièges confortables, une direction légère et une conduite incroyablement douce en référence à l'atroce revêtement de la route (merci, MassDOT), et c'était assez silencieux en mode Confort. Ce serait vraiment un plaisir de se rendre au travail et d'en revenir dans cette voiture. Je n'avais vraiment rien à redire sur le fait de flotter en ville ou d'aller chercher les enfants à l'entraînement de football.

En actionnant l'interrupteur à bascule de la console, je suis passé au réglage Sport. Comme pour tant d’autres BMW de cette époque, c’est là que les choses deviennent plus intéressantes. La première chose que j'ai remarquée était le changement dans la sensation de direction ; en confort, la direction est presque comiquement légère et on ne sent presque rien à l'avant. Dans le sport, tout cela change ; le poids de la direction augmente et la route se traduit beaucoup plus par le volant. C'est certes subjectif, mais pour moi, c'était bien plus agréable pour le conducteur.

#gallery-1 { margin: auto; } #gallery-1 .gallery-item { float: gauche; marge supérieure : 10 px ; alignement du texte : centre ; largeur : 33 % ; } #gallery-1 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-1 .gallery-caption { margin-left : 0 ; } /* voir gallery_shortcode() dans wp-includes/media.php */

En mode Sport, le changement de vitesse de la transmission devient également plus sportif, en s'accrochant aux rapports un peu plus longtemps et en utilisant davantage la plage de régime. Bien que cela soit parfois amusant, j'aurais aimé savoir que je pouvais régler la direction sur Sport et la transmission sur Confort. Avec une voiture comme celle-ci, si je veux attaquer une route de montagne, j'utiliserais les palettes pour changer de vitesse et je n'aurais pas besoin de compter sur le réglage plus sportif de la transmission. C'est devenu légèrement ennuyeux, même après une heure.

En parlant de transmission, c’est ce qui m’a le plus surpris. Chaque fois que j’ai l’occasion de conduire quelque chose de nouveau, j’y vais en portant un œil attentif à la relation entre le moteur et la boîte de vitesses. Ce partenariat peut faire la différence entre une bonne et une excellente expérience de conduite. Dans la F31, j'ai été impressionné par la façon dont la transmission ZF8 à huit rapports et le moteur B48 quatre cylindres turbocompressé de 2,0 litres fonctionnaient bien en tant qu'ensemble. La ZF passait bien les vitesses, bien mieux que ce à quoi je m'attendais d'une « simple boîte automatique ». En dehors du réglage Sport de la transmission, les changements de vitesse au volant étaient suffisamment rapides pour s'amuser. Associé au B48, c'était génial de parcourir la bande de puissance.

La voiture est également rapide en ville. Ce n'est pas une voiture M, mais ce n'est pas non plus une Lada. Le petit moteur B48 déplaçait facilement le wagon malgré son poids de 3 800 livres. Comme beaucoup d'autres l'ont dit, j'aurais également aimé que ces familiales soient proposées avec le moteur six cylindres turbocompressé de la F80 M3 (S55) ou même le B58 de la 340i, mais pour un quatre cylindres, la B48 fait le travail et est amusante. conduire.

C'est pourquoi je pense que BMW en a vendu autant dans le Nord-Est ; elle fait juste assez de tout pour être une excellente voiture familiale. C'est parfait pour dormir les enfants lors d'un road trip, mais étant donné les circonstances, cela peut être très amusant sur une route sinueuse. Si vous ne voulez pas de multisegment, cette familiale de la Série 3 était à peu près la seule chose que vous pouviez obtenir à l'époque. Lorsqu'elle était vendue neuve, la F31 avait peu de concurrentes sur le marché des petites familiales (créneau, je sais), sa seule véritable rivale étant l'Audi Allroad. Globalement, la BMW dans son ensemble est meilleure. Je l'ai trouvé devançant l'Audi au quotidien, mis à part la garde au sol supérieure de l'Allroad, mais le F31 est beaucoup plus amusant à explorer la bande de puissance sur une route secondaire.